Messe du jour

  • Lecture de la première lettre de saint Jean

    Bien-aimés,
    voici comment nous savons que nous connaissons Jésus Christ :
    si nous gardons ses commandements.
    Celui qui dit : « Je le connais »,
    et qui ne garde pas ses commandements,
    est un menteur :
    la vérité n’est pas en lui.
    Mais en celui qui garde sa parole,
    l’amour de Dieu atteint vraiment la perfection :
    voilà comment nous savons que nous sommes en lui.
    Celui qui déclare demeurer en lui
    doit, lui aussi, marcher
    comme Jésus lui-même a marché.

    Bien-aimés, ce n’est pas un commandement nouveau
    que je vous écris,
    mais un commandement ancien
    que vous aviez depuis le commencement.
    La parole que vous avez entendue,
    c’est le commandement ancien.
    Et pourtant, c’est un commandement nouveau
    que je vous écris ;
    ce qui est vrai en cette parole
    l’est aussi en vous ;
    en effet, les ténèbres passent
    et déjà brille la vraie lumière.
    Celui qui déclare être dans la lumière
    et qui a de la haine contre son frère
    est dans les ténèbres jusqu’à maintenant.
    Celui qui aime son frère demeure dans la lumière,
    et il n’y a en lui aucune occasion de chute.
    Mais celui qui a de la haine contre son frère
    est dans les ténèbres :
    il marche dans les ténèbres sans savoir où il va,
    parce que les ténèbres ont aveuglé ses yeux.

    – Parole du Seigneur.

  • Refrain psalmique : (95, 11a)

    Joie au ciel ! Exulte la terre !

    Chantez au Seigneur un chant nouveau,
    chantez au Seigneur, terre entière,
    chantez au Seigneur et bénissez son nom !

    De jour en jour, proclamez son salut,
    racontez à tous les peuples sa gloire,
    à toutes les nations ses merveilles !

    Lui, le Seigneur, a fait les cieux :
    devant lui, splendeur et majesté,
    dans son sanctuaire, puissance et beauté.

  • Acclamation : (Lc 2, 32)

    Alléluia, Alléluia.
    Lumière qui se révèle aux nations
    et donne gloire à ton peuple Israël.
    Alléluia.

    Évangile de Jésus Christ selon saint Luc

    Quand fut accompli le temps prescrit par la loi de Moïse
    pour la purification,
    les parents de Jésus l’amenèrent à Jérusalem
    pour le présenter au Seigneur,
    selon ce qui est écrit dans la Loi :
    Tout premier-né de sexe masculin
    sera consacré au Seigneur.
    Ils venaient aussi offrir
    le sacrifice prescrit par la loi du Seigneur :
    un couple de tourterelles
    ou deux petites colombes.

    Or, il y avait à Jérusalem un homme appelé Syméon.
    C’était un homme juste et religieux,
    qui attendait la Consolation d’Israël,
    et l’Esprit Saint était sur lui.
    Il avait reçu de l’Esprit Saint l’annonce
    qu’il ne verrait pas la mort
    avant d’avoir vu le Christ, le Messie du Seigneur.
    Sous l’action de l’Esprit, Syméon vint au Temple.
    Au moment où les parents présentaient l’enfant Jésus
    pour se conformer au rite de la Loi qui le concernait,
    Syméon reçut l’enfant dans ses bras,
    et il bénit Dieu en disant :
    « Maintenant, ô Maître souverain,
    tu peux laisser ton serviteur s’en aller
    en paix, selon ta parole.
    Car mes yeux ont vu le salut
    que tu préparais à la face des peuples :
    lumière qui se révèle aux nations
    et donne gloire à ton peuple Israël. »
    Le père et la mère de l’enfant
    s’étonnaient de ce qui était dit de lui.
    Syméon les bénit,
    puis il dit à Marie sa mère :
    « Voici que cet enfant
    provoquera la chute et le relèvement de beaucoup en Israël.
    Il sera un signe de contradiction
    – et toi, ton âme sera traversée d’un glaive – :
    ainsi seront dévoilées
    les pensées qui viennent du cœur d’un grand nombre. »

    – Acclamons la Parole de Dieu.

Prières

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# Libellé des prières
1 Traité de la Trinité XV, PL 62, 1098
2 Les Confessions, I, v, 5-6